COMMENT FABRIQUER SOI-MÊME SES BOMBES DE BAIN

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LE DIY AU NATUREL:

Nous vous proposons une recette conçue qu’avec des produits naturels pour confectionner une bombe de bain détente et relaxation!

LES INGRÉDIENTS :

  • 240 gr de bicarbonate de soude de qualité, aspect « sucre glace ». Il sera beaucoup plus fin que celui aspect « sucre blanc » et plus adapté aux cosmétiques maison.
  • 120 gr d’Acide citrique 
  • 70 gr d’Arrow root ou de Fécule de Maïs 
  • 25 gr de Beurre de Karité Bio
  • 15 gr d’Huile de Jojoba Bio
  • 5 gr d’huiles essentielles de lavande vraie (augustifolia) bio et ylang ylang bio (soit 60 gouttes de chaque environ)
  •  25 gr d’Eau (à transférer dans un petit pulvérisateur)
  • 2 pointe de couteau d’Oxyde rose
  • 2 pointes de couteau d’Oxyde bleu
  • 4 pointes de couteau de Mica Doré

LE MODE OPERATOIRE:

1. Dans un saladier bien propre et stérilisé à l’alcool à 90°, mélangez l’acide citrique et le bicarbonate de soude. Écrasez bien le mélange afin de le rendre complètement homogène. Ajoutez ensuite l’arrow root. L’arrow root permet de retenir l’humidité et de donner plus de tenue à la bombe de bain.

2. Faites fondre au bain-marie le Beurre de karité et l’huile végétale de Jojoba. Le beurre de Karité permet une bonne tenue de la bombe de bain. Il permet de mouler plus facilement les poudres. Ce beurre dur se fige en refroidissant. Ainsi votre bombe de bain de conservera sa forme et on évitera les miettes au démoulage. De plus, il nourrit, apaise et rend la peau douce. Quant à l’huile de jojoba, c’est une huile sèche qui pénètre facilement. Elle nourrit et répare la peau. L’huile servira de support aux huiles essentielles afin qu’elles se répartissent uniformément dans l’eau du bain.Une fois fondus, sortez de la chauffe. Après que le mélange soit refroidi et devenu tiède, ajoutez les huiles essentielles (on ne met jamais les l’huiles essentielles dans un mélange trop chaud!)

L’huile essentielle de lavande vraie est apaisante, calmante, purifiante et son parfum est relaxant. L’huile essentielle d’Ylang ylang est connue pour son parfum relaxant, réconfortant, aphrodisiaque et euphorisant. Cette huile essentielle est aussi réputée pour redonner éclat et vitalité aux cheveux, et ralentir leur chute. Pour les peaux matures et fatiguées, elle est recherchée pour ses propriétés régénérante et de tonique cutané.

3. Versez ensuite le mélange fondu sur les poudres. Ecrasez le mélange à l’aide d’un pilon afin de le rendre homogène.

4. Ajoutez ensuite l’eau à l’aide d’un petit pulvérisateur. Attention à ne pas ajouter toute l’eau d’un seul coup sous peine que le mélange réagisse trop vite. Au contact de l’eau, le mélange acide citrique et bicarbonate réagit et crée une effervescence. Attention à bien respecter le dosage 1 part d’acide citrique pour 2 part de bicarbonate afin d’être sûr que la réaction soit complète et que les deux produits réagissent entièrement ensemble. Pulvérisez de 10 en 10 au maximum et en répartissant bien sur toute la surface! Si vous allez trop vite en ajoutant trop d’eau d’un coup, l’effervescence se produira dans le saladier, et non dans votre bain! Mélangez au fur et à mesure que vous ajoutez de l’eau. Le mélange doit s’écraser sur les parois et être légèrement humide.

5. Ajoutez les pigments naturels et écrasez correctement le tout. Pour un effet marbré vous pouvez séparer le mélange en deux et ajouter les pigments naturels dans un bol uniquement.

6. Remplissez ensuite des petites boules en plastique ou des moules en silicone. Pour un effet marbré, alternez les mélanges des deux bols. Démoulez au bout d’une heure puis laissez sécher une journée.

Vos bombes de bain se conserveront environ 6 mois, à l’abri de la chaleur, de la lumière et de l’humidité. Astuce: stockés les dans un bocal hermétique en verre avec un carré de sopalin plié dans le fond si vous les gardez dans la salle de bain!

Cette recette permet de fabriquer deux bombes de bain de 250 gr (ou plusieurs plus petites).

Veillez à bien désinfecter l’ensemble de votre matériel juste avant la fabrication, à l’alcool à 90° ou à l’eau bouillante. Voir notre page précautions d’emploi.

Effectuez impérativement et pour toute recette le test préalable de tolérance cutanée dans le pli du coude 48H avant utilisation afin de vérifier que vous n’êtes pas allergique.

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Précautions: Les huiles essentielles sont des concentrés d’actifs très puissants. Il convient de les employer avec précaution. De manière générale, les huiles essentielles sont déconseillées chez les femmes enceintes et allaitantes, les enfants de moins de 6 ans, les épileptiques, les asthmatiques, les personnes présentant un cancer-hormonodépendant et les personnes dont l’état de santé est jugé fragile. Demandez conseil à votre médecin.
Ces recettes sont données à titre indicatif. L’association Isis ne peut être tenue pour responsable des dommages de toute nature, matériels ou corporels, qui pourraient résulter de la réalisation de ces recettes. Voir notre page « précaution d’emploi »
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La méditation renforce l’immunité selon Jon Kabat-Zinn

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Formé au célèbre Massachusetts Institute of Technology (MIT), le biologiste américain Jon Kabat-Zinn a été le premier à proposer, dès 1979, la méditation comme remède. À l’occasion de la sortie de son dernier livre, nous avons rencontré en exclusivité l’un des pères fondateurs de la médecine corps-esprit.

Sylvain Michelet

extrait de psychologies.com

Psychologies : Comment vous est venue l’idée d’adapter des pratiques méditatives bouddhistes à la réduction du stress ?

Jon Kabat-Zinn : Je suppose qu’à l’origine, on trouverait chez moi le désir inconscient de
réconcilier mes parents. Mon père était un biologiste renommé, ma mère une artiste prolifique mais inconnue. Très tôt, ces deux façons radicalement différentes d’appréhender le monde m’ont semblé chacune incomplète et – comme c’était souvent le cas pour mes parents – incapables de communiquer entre elles. Cela m’a conduit à m’interroger sur la nature de la conscience : avant d’être imprégnés par l’une ou l’autre de nos façons de concevoir le monde, comment « savons-nous » ? Comment « prenons-nous conscience » de ce qui est ?

Mon intérêt pour la science est parti de là. Étudiant, j’ai commencé à pratiquer la méditation, le zen, le yoga, les arts martiaux… Le désir de relier ces pratiques avec le métier de scientifique est devenu de plus en plus fort. Quand j’ai obtenu mon doctorat en biologie moléculaire, j’ai décidé de consacrer ma vie à ce projet : adapter la méditation bouddhiste, en lui ôtant son aspect religieux, pour l’intégrer à un programme de soins scientifiquement contrôlable et philosophiquement acceptable par tous.

Avez-vous rencontré des difficultés pour créer votre clinique ?

J’étais titulaire d’un doctorat, obtenu au célèbre Massachusetts Institute of Technology auprès d’un prix Nobel, et je travaillais dans le monde médical. Face à de telles références, les autorités se sont dit que je devais savoir ce que je faisais. Devant le succès, elles m’ont rapidement soutenu. Ainsi est née la MBSR, un programme de réduction du stress en huit semaines, comprenant une séance en groupe hebdomadaire et une heure par jour de pratique à domicile, à l’aide de cassettes audio. Peu à peu, les applications ont été étendues à l’anxiété, aux phobies, à l’addiction, à la dépression…

Quel type de méditation employez-vous dans ces programmes ?

Nous utilisons diverses pratiques méditatives – certaines sous forme d’exercices précis, d’autres plus informelles –, toutes basées sur le développement de la « pleine conscience », ou mindfulness. Cette forme d’attention est considérée comme le cœur de la méditation bouddhiste. Ma définition la plus rapide en est : la conscience qui émerge quand on porte intentionnellement son attention sur le moment présent sans juger – ni lui, ni soi. C’est une attitude qui prédispose à la paix de l’esprit et du cœur, à la compassion, à l’amour. Nous l’enseignons d’une façon qui, nous l’espérons, respecte l’esprit de la voie bouddhiste, le dharma, mais dans un langage universel et laïc.

Les exercices que je propose comportent notamment le body scan (couché, on se concentre sur ses sensations dans chaque partie du corps) ; la méditation assise, où l’attention se porte sur différents objets (respiration, sons, pensées, images mentales) ; ou encore l’entraînement à une attention sans objet ni effort, appelée « attention sans choix » par le philosophe indien Jiddu Krishnamurti. On dit aussi : « présence ouverte ». Nous enseignons également la marche consciente, le yoga conscient, et même le fait de manger en conscience. Quant aux pratiques informelles, elles consistent à appliquer, moment après moment, cet état d’esprit ouvert et sans jugement à diverses activités quotidiennes : s’occuper des enfants, des courses, de la cuisine ou du ménage, faire de l’exercice, être en famille… sans se laisser distraire par son discours intérieur, mais en restant attentif à ce que l’on fait et à ce qui vient (sensations et expériences).

Finalement, la vie elle-même devient une pratique de méditation, car le défi est de ne pas perdre le seul moment où nous sommes réellement vivants, c’est-à-dire le présent, l’ici et maintenant.

Quelles maladies la méditation guérit-elle ?

La liste des maladies où elle s’est montrée utile ne cesse de s’allonger. Mais cela dépend de ce que l’on entend par guérir. Est-ce restaurer l’organisme pour qu’il soit comme avant la maladie ou l’accident (to cure en anglais) ? Ou bien est-ce accepter et assumer la situation
telle qu’elle est, avec ses maux, mais dans le plus grand confort possible (to heal) ? Dans le premier sens, guérir n’est pas toujours faisable, même avec le meilleur traitement de la médecine actuelle. Mais dans le second, guérir est possible tant que nous sommes en vie. C’est l’une des choses que les patients apprennent – mieux, dont ils font l’expérience – en pratiquant la MBSR ou d’autres méthodes basées sur la pleine conscience, à usage médical ou psychologique.

Pour nous, il s’agit d’une « médecine participative » : elle conduit le patient à s’engager personnellement vers de plus hauts niveaux de bien-être et de santé en optimisant ses propres capacités autorégulatrices. Le travail de méditation est un complément précieux à la « guérison » qu’apporte – ou pas – le traitement médical ou chirurgical.

Au fond, vous proposez une nouvelle approche de la maladie et du malade.

Oui, il s’agit de placer la notion de soin au cœur de la thérapie, en accord avec les principes d’Hippocrate. Ces principes ont fondé la médecine moderne, mais ils sont aujourd’hui négligés, parce que les médecins sont contraints de traiter le maximum de patients en un minimum de temps. L’entraînement à la pleine conscience peut d’ailleurs les aider eux aussi, comme en témoigne le succès de nos programmes pour les professionnels de santé.

En avez-vous personnellement bénéficié ?

Nul ne peut animer un programme basé sur la pleine conscience s’il ne médite pas lui-même. Personnellement, la méditation a transformé ma vie. Je me demande si je serais encore vivant si je n’avais pas commencé à pratiquer à l’âge de 22 ans. Cela a réconcilié tous les aspects de mon existence et de ma personnalité, tout en répondant à la question : « Que vais-je pouvoir apporter au monde ? » Je ne connais rien de mieux que la méditation pour apprendre à être présent dans sa vie et dans ses relations, aussi difficile que cela puisse parfois être. J’aime dire que la pleine conscience est simple, mais pas facile ; c’est un dur travail, mais à quoi d’autre sommes-nous destinés ? Ne pas s’y employer, ce serait rater tout ce qu’il y a de meilleur, de plus profond et joyeux dans nos vies, parce que nous sommes « perdus » dans notre mental, à vouloir être mieux, ailleurs, sans réaliser la richesse du moment présent.

C’est donc une façon de vivre et une pratique préventive plutôt qu’une thérapie…

Mais non, je vous l’ai dit, les effets curatifs sont amplement prouvés – simplement, ce n’est pas un médicament ou une intervention classique. Évidemment, la méditation a aussi un effet préventif : en prenant du temps pour écouter vos sensations, vous augmentez vos chances d’être averti si quelque chose cloche ! En outre, méditer renforce le système immunitaire et la capacité à assumer le présent.
Or, plus votre santé physique et mentale est robuste, mieux vous résistez au stress et aux processus maladifs, et plus vite vous vous rétablissez quand vous tombez malade. Je parle d’une optimisation de la santé à travers la vie entière. Les objectifs changent donc à mesure que nous vieillissons…

N’y a-t-il pas de contre-indications ?

Je répondrais volontiers que non, même si mes collègues de la MBCT déconseillent la méditation en cas de phase dépressive aiguë, estimant qu’elle risque d’aggraver la rumination d’idées noires, qui en est le moteur. À mon avis, le problème principal est la motivation. Si elle est faible, difficile de pratiquer la pleine conscience : cela demande un changement immédiat de mode de vie, puisqu’il faut s’accorder du temps à la fois pour les exercices formels de méditation et pour l’entraînement à la présence consciente dans l’activité quotidienne.

Puisque ça marche, pourquoi la méditation n’est-elle pas utilisée à l’hôpital ou en clinique ?

Mais elle l’est ! Plus de deux cent cinquante hôpitaux et cliniques dans le monde proposent des programmes de MBSR ou de MBCT, et le chiffre augmente chaque année. J’ai le sentiment que la culture médicale française résiste quelque peu, alors que dans d’autres pays comparables, ces méthodes sont en pleine expansion et ont été acceptées par la médecine depuis des années, et plus récemment par la psychologie. Je suis moi-même professeur émérite de médecine à l’université du Massachusetts, et dès que nos résultats sont apparus, j’ai bénéficié, aux États-Unis, du soutien entier des responsables des services de médecine et de chirurgie, comme des autorités médicales ou universitaires. Des facultés de médecine d’universités aussi prestigieuses que Stanford, Duke ou Harvard enseignent la MBSR. Les programmes sont remboursés par l’une des principales compagnies d’assurance-maladie en Amérique (Kaiser Permanente).

Sur le Web :

– www.ecsa.ucl.ac.be/mindfulness : Outre des explications sur la pleine conscience et des infos pratiques, le site de l’université de Louvain, en Belgique, propose des enregistrements d’exercices audio téléchargeables.
– www.association-mindfulness.org : Cette association regroupe les praticiens de MBSR et de MBCT en France. Elle organise une conférence avec Jon Kabat-Zinn le 10 juin.

source: psychologies.com

Quelques mots sur l’Ayurvéda…

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L’Ayurveda est un système de prévention et d’équilibre de vie naturelle traditionnel de l’Inde qui prend ses racines dans la connaissance védique antique

Ayurveda est un mot en langue sanskrite, composé du mot Veda qui signifie « science ou connaissance et du mot Ayur qui signifie « vie, longévité ».

Les 2 traités majeurs de l’Ayurveda sont la Charaka et la Sushruta qui décrivent les lois naturelles pour promouvoir la santé et la longévité.

La prévention et la qualité de vie selon l’Ayurveda : 

les techniques respiratoires, l’exercice physique, la musique, la nutrition, l’architecture pour la vitalité, la préparation et l’usage des plantes et minéraux, les cures de désintoxications (élimination des toxines), les massages et le Yoga.

L’Ayurveda apporte une description complète, profonde et rationnelle de la constitution humaine, du fonctionnement du corps et de l’esprit, des fonctions vitales et du non respect des lois naturelles qui entraînent les déséquilibres, inconforts puis la maladie..

Le première étape est la connaissance de soi-même

Dans ce but l’Ayurveda nous présente des caractéristiques définissant chacun d’entre nous, notre propre constitution.Ces caractéristiques, fondamentales à notre constitution sont fondées sur des lois naturelles précises, appelées aussi élément, qualité, principe énergétique et en sanskrit dosha.

Toute constitution (humaine, animale, végétale, minérale ou tout ce qui existe dans l’univers) est composée de 3 doshas répartis selon des proportions différentes et variables.

Ces 3 doshas sont : Vata, Pitta, Kapha

Les qualités de Vata, Pitta, Kapha

Vata : mobile, léger, rapide, fin, sec, froid, il est responsable du mouvement.
Pitta : pressant, organisé, structuré, transformant, humide, chaud, il est responsable des processus de transformation et de la chaleur.
Kapha : stable, lent, lourd, dense, collant, humide, froid, il est responsable de la structure.

Exemples d’applications de ces qualités énergétiques dominants et présents dans :

Vata (V), Pitta (P), Kapha (K)
Climat : V froid sec venteux – P chaud humide – K froid humide, pluvieux, neige
Matériaux : V éponge naturelle – P matière plastique pétrochimie – K marbre, roche
Boisson : V eau – P alcool – K lait
Aliments : V biscotte – P Pain grillé chaud – K pudding
Sport : V ping pong, tennis, sprint – P sport tactique – K marche, canapé…
Plantes : V Oranger – P Rose – K Marjolaine

Application des qualités des Doshas à l’humain : corps, esprit et comportement

Les qualités des doshas et leurs combinaisons selon des proportions différentes sculptent la personnalité énergétique de la personne, de l’animal, du végétal, du minéral…

Par l’observation du profil physique, de la charpente osseuse, de la démarche ou du comportement (ou par le pouls ou par un questionnaire) nous pouvons évaluer les doshas dominants et leurs proportions. L’observation des tissus, l’état général ou le comportement présent révèlent les doshas dominants de l’instant présent.

Ainsi nous pouvons dire que telle personne a une dominante Vata ou Pitta ou Kapha ou 2 dominantes Vata-Pitta, Vata-Kapha, Pitta-Vata, Pitta-Kapha, Kapha-Vata, Kapha-Pitta, ou 3 dominantes Vata-Pitta-Kapha…. Et le décalage ou la différence entre sa constitution de naissance (sa référence) et sa constitution actuelle (que nous appelons le Tempérament) montre le ou les doshas en excès, soit son déséquilibre.

De cette façon par les trois doshas appelés Vata, Pitta, Kapha, l’Ayurveda explique tous les processus physiques, physiologiques, psychologiques et la pathogénie des diverses maladies et leurs symptômes.

La notion d’équilibre et de déséquilibre

L’écart ente les doshas dominants de la constitution physique et les doshas dominants de l’instant présent détermine le déséquilibre.

Cette différence de proportion des doshas entraîne un déséquilibre ou inconfort ou mal-être, qui, s’il se poursuit et s’aggrave pendant un certain temps, se transformera en pathologie.

Le mal-être est un signal qui révèle la déviation entre les doshas de sa constitution de naissance et les doshas de l’instant présent. C’est important d’en tenir compte et c’est à ce titre que l’Ayurveda est une méthode de prévention et de longévité.

Comment les doshas se déséquilibrent ?

La règle : les doshas similaires s’additionnent.

Ex. si dans votre constitution de naissance vous avez 50% de Vata, 30% de Pitta et 20% de Kapha, et aujourd’hui le temps est très venteux, froid et sec, alors l’excès de Vata extérieur va augmenter votre Vata intérieur et entraîner un léger déséquilibre ou inconfort % au Vata de votre constitution de naissance : vous allez ressentir plus d’agitation et d’énervement et pour certaines personnes dont le dosha Vata étaient déjà en excès, cela va entraîner une perturbation du sommeil…

Comment choisir le produit Ayurvédique qui va rétablir ce déséquilibre ?

Le principe est le suivant : l’objectif est de pacifier ou réduire le dosha devenu en excès. Si nous avons, selon l’exemple précédent trop de Vata, alors on choisit un produit Vata. La composition permet de réduire l’excès de Vata. Si nous devons réduire Pitta, nous choisissons le produit qui porte la désignation Pitta…de même pour Kapha.

L’excès de dosha entraîne quel déséquilibre et quelles sont les solutions ?

VATA : DESEQUILIBRE ET EQUILIBRE 

Si vous vous sentez agité, excité, énervé, dispersé, sec, ayant des trous de mémoire, un sommeil variable, un appétit variable et une vitalité irrégulière, une peur ou inquiétude croissante allant jusqu’à de l’angoisse, une sensibilité croissante au froid, vous choisissez des produits VATA : la Synergie d’huiles essentielles Vata à diffuser ou à respirer, l’Huile de massage Abhyanga ou Marma Vata, le Bain Vata…

Ces produits vont réduire le dosha Vata, pour que vous soyez le plus proche de votre constitution de naissance et ces inconforts provoqués par l’excédent de Vata vont s’atténuer. Ils vont vous aider à mieux gérer le stress, à retrouver du calme, de la stabilité, de l’endurance, et naturellement retrouver les qualités inhérentes à une constitution Vata équilibrée.

Un Vata équilibré génère une personnalité vive, enthousiaste, créative, spontanée…

PITTA : DESEQUILIBRE ET EQUILIBRE 
Si vous vous sentez bouillonnant, tendu, impatient, irritable ou colérique, intransigeant ou critique, un sommeil trop court, avec une transpiration et une aversion à la chaleur accrues, une faim excessive avec des troubles de digestion, des rougeurs ou inflammations, vous choisissez des produits PITTA : la Synergie d’huiles essentielles Pitta à diffuser ou à respirer, l’Huile de massage Abhyanga ou Marma Pitta, le Bain Pitta …

Ces produits vont réduire le dosha Pitta, pour que vous soyez le plus proche de votre constitution de naissance et ces inconforts provoqués par l’excédent de Pitta vont s’atténuer. Ils vont vous aider à évacuer la pression, à retrouver plus de patience et de maîtrise de soi, à retrouver de la sérénité et à prendre du recul et naturellement retrouver les qualités inhérentes à une constitution Pitta équilibrée.

Un Pitta équilibré est une personne volontaire, courageuse, entreprenante, organisée, ayant un bon contentement.

KAPHA : DESEQUILIBRE ET EQUILIBRE 
Si vous vous sentez léthargique, sans allant, passif, avec des difficultés d’adaptation accrues, un sommeil trop long, une aversion au froid, une envie de grignoter excessive avec une digestion trop lente, une prise de poids et une peau plus grasse, une tendance à la déprime, vous choisissez des produits KAPHA : la Synergie d’huiles essentielles Kapha à diffuser ou à respirer, l’Huile de massage Abhyanga ou Marma Kapha, le Bain Kapha …

Ces produits vont réduire le dosha KAPHA, pour que vous soyez le plus proche de votre constitution de naissance et ces inconforts provoqués par l’excédent de Kapha vont s’atténuer.

Ils vont vous aider à retrouver de la force, de l’endurance, de l’entrain, de l’envie d’entreprendre, de s’extérioriser et naturellement retrouver les qualités inhérentes à une constitution Kapha équilibrée.

Un Kapha équilibré est une personne stable, posée, patiente, tolérante, tendre, méthodique dans l’activité.

Source: Laboratoire Herbes et Traditions

Atelier cosmétique naturel et bio

 

Samedi 25 mars: 14h30 à 16h00 beauté naturelle à l’ancienne avec les produits du quotidien

A partir d’ingrédients de base fournis (argile, gel d’aloe vera, eau de rose, huile d’amande douce bio, huiles essentielles, bicarbonate de soude…), apprenez à réaliser vos produits cosmétiques à l’ancienne et repartez avec ceux que vous aurez réalisés vous-même ainsi qu’avec des ingrédients pour refaire l’expérience chez vous.

Les recettes que vous apprendrez vous permettront de fabriquer en quelques instant votre cosmétique naturel express,sans conservateur, à usage immédiat.

Au programme: apprenez à fabriquer et repartez avec: votre démaquillant bi-phasique à la rose de Damas bio, émulsion hydratante à l’aloes vera bio et aux huiles bio, masque gommage visage à l’argile, micro masque anti-boutons, sachet pour le bain à la coco, shampoing végétal no poo (aux poudres de plantes), dentifrice simplissime à la menthe et bien d’autres encore!

Nous vous montrerons également comment réaliser simplement un déodorant express au bicarbonate, une lotion de rinçage pour les cheveux, un micro-hammam aux plantes, et vous repartirez avec une sélection de recettes de beauté à essayer chez vous.

Vous repartirez avec les produits que vous aurez vous même réalisés!

RESERVEZ VOTRE PLACE DèS MAINTENANT en envoyant un mail à isispujaut@gmail.com

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